La souffrance fait partie du voyage. Jeune ou vieux, elle croisera notre route tôt ou tard. Certains ont le bonheur plus facile, mais personne n’est à l’abri de la douleur physique ou morale. Nous pouvons toutefois apprendre à mieux composer avec celle-ci, en cessant d’ajouter des étiquettes négatives à ce que nous vivons, de lutter avec ce que nous pensons et ressentons, d’imaginer des histoires dramatiques, de faire des comparaisons qui mènent nulle part, de nous poser d’interminables questions sans réponse.
N’ajoutons pas de souffrance à notre souffrance. Accueillons-la telle quelle est, non pas comme notre tête nous dit qu’elle est. Faisons ce qui est en notre pouvoir pour l’alléger, mais ne l’alimentons pas par un discours intérieur qui nous blâme et nous accable et par des stratégies d’évitement qui nous empêche de poser des actions en direction de ce qui est important pour nous.